Environ la moitié des patients qui prennent des statines n’obtiennent qu’une réponse thérapeutique sous-optimale, ce qui les expose à un risque accru de maladie cardiovasculaire (MCV), selon une étude observationnelle publiée dans Heart.
Des niveaux modérés à élevés d’activité physique durant les temps libres sont systématiquement mis en corrélation avec un risque réduit de maladies cardiovasculaires. En revanche, la relation entre l’activité physique au travail et les maladies cardiovasculaires est bien moins univoque et de nombreux résultats contradictoires ont été documentés dans la littérature...
Le risque cardiovasculaire étant accru chez les patients souffrant de goutte, il est légitime de sélectionner pour le traitement de fond les hypo-uricémiants ayant le meilleur profil cardiovasculaire, tout particulièrement chez les patients ayant déjà une atteinte cardiovasculaire.
Près d'un tiers des patients atteints de psoriasis ou de rhumatisme psoriasique ont un risque cardiovasculaire élevé selon le score de Framingham et dans un quart à un tiers des cas, les facteurs de risque modifiables classiques ne sont pas diagnostiqués et/ou pris en charge.
Le Pr Robert Storey a été impliqué dans plusieurs études majeures concernant l’agrégation plaquettaire des sujets ayant eu un syndrome coronarien aigu. Il a aussi participé à l’élaboration de recommandations de l’ESC en matière de prise en charge de l’infarctus. Il insiste ici, avec conviction, sur toute l’importance d’un traitement antiagrégant adéquat chez ces patients.
Des études antérieures ont documenté une association entre infarctus et risque accru de démence, mais elles étaient souvent de petite taille, ne retrouvaient qu'une association faible ou ambiguë ou ne se préoccupaient pas des différents types spécifiques de démence.
L'inhibiteur de l'IL-1β canakinumab diminue le risque de récidive cardiovasculaire en réduisant l'inflammation, selon les résultats de l'essai CANTOS présentés par Paul Ridker à l’ESC et publiés dans le NEJM.
L'anacetrapib, un inhibiteur de l'activité de la CETP, diminue le risque de crise cardiaque et de complications cardiovasculaires connexes chez les patients recevant un traitement intensif par statines, selon les résultats de l'étude REVEAL présentés au congrès de l'ESC et publiés dans le NEJM.
Nous savions déjà que la dépression est un facteur de risque cardiovasculaire… mais ses méfaits ne s'arrêtent pas là.
Une revue systématique de la littérature a déterminé l’incidence de l’infarctus du myocarde dans 5 types majeurs d’arthrite.
VCP Vol. 26 N° 1
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